De nouvelles idées et trois nouveaux visages pour diriger le PSR

L’entier du bureau du PSR change de visage suite à l’assemblée générale de ce jeudi 29 octobre (tenue en ligne en raison du Covid-19). Marie Moeschler et Hervé Roquet partageront la présidence, alors que la vice-présidence revient à Karim Saïd. Cette nouvelle équipe reprend le flambeau, suite au retrait de Christiane Vlaiculescu-Graf et de Samantha Dunning, qui ont été chaleureusement remerciées. Ce changement d’équipe dirigeante arrive alors que le parti franchit une nouvelle étape, avec l’élection de Glenda Gonzalez Bassi comme conseillère municipale et de trois nouvelles conseillères de ville.

Dynamisme

Cette nouvelle équipe souhaite dynamiser le PSR en renforçant l’activité des membres et des sympathisants, ainsi que les contacts avec la population. Cela en commençant par organiser plus d’événements et d’actions dans la rue, espace par excellence où la population et les politiques peuvent se rencontrer. La campagne du PSR aux élections municipales, menée main dans la main avec le SP germanophone, a montré que ce dynamisme est apprécié de la population et des membres. La nouvelle équipe souhaite continuer dans cette lancée.

Qui sommes-nous ?

Avocate de profession, Marie Moeschler contribue à faire évoluer et respecter les droits des salarié.e.s et des assuré.e.s dans son travail au quotidien auprès du syndicat Unia. La lutte pour les droits des femmes est l’une de ses priorités, notamment avec le collectif biennois de la grève féministe. Elle vient d’être brillamment élue au Conseil de ville.

Doctorant en géographie à l’Université de Genève depuis 2019, Hervé Roquet commence une recherche avec des habitants de quartiers précaires des villes de Dakar et Lagos en Afrique de l’Ouest. Il croit à la puissance de l’action collective et de la collaboration pour construire pierre après pierre un monde plus juste. C’est ce qui l’a poussé à s’engager en politique, dans un premier temps à la jeunesse socialiste, puis au sein du PSR dès son arrivée à Bienne, il y a deux ans. Entre-temps, Bienne est devenue sa ville d’adoption (pour le Vaudois qu’il était) et, dit-il, il ne se voit plus la quitter.

Karim Saïd est enseignant de mathématiques au secondaire 2. Il a exercé des responsabilités au sein du syndicat d’enseignants “Formation Berne”. Il est convaincu que, en misant sur une école basée sur l’égalité des chances et une formation de qualité, la société se portera mieux. Socialiste modéré sur le fond et la forme, il est particulièrement sensible à l’intégration des minorités, à la protection sociale des travailleurs, au gaspillage alimentaire ou à la défense de la minorité francophone dans le contexte du bilinguisme biennois et cantonal. Ouverture, respect et bienveillance (mais sans concessions) sont pour lui davantage que des slogans.

Bienne, le 29 octobre 2020

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